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Qu’est-ce qui vous a donné envie de participer à Miss Yvelines, 
puis à Miss Île-de-France ?

Ma maman et ma tante ont été Miss au Mexique. Elles m’ont toujours parlé de ces concours comme d’une expérience incroyable. On voulait attendre le bon moment, ne pas se précipiter. J’aurais aimé me présenter à 18 ans, mais mes parents ont préféré que je termine mes études d’abord, pour avoir plus de maturité. Cette année, j’ai terminé ma quatrième année à l’ESSEC et j’ai choisi de mettre mes études en pause pour tenter l’aventure Miss France. Si cela ne fonctionne pas, je reprendrai un master en entrepreneuriat l’année prochaine. Mais je voulais vraiment me donner toutes les chances.

Lors de votre élection à 
Miss Île-de-France, qu’avez-vous ressenti ?

J’avais l’ambition de concourir à Miss France dès le début, mais il fallait d’abord franchir les étapes. Et ce n’était pas facile : il y avait énormément de très bons profils à Miss Île-de-France. Je me suis beaucoup préparée : marche, danse, éloquence, questions… C’est d’ailleurs l’épreuve des questions qui est déterminante. Il faut répondre devant 1 600 personnes, avec beaucoup de bruit et de pression. C’était très impressionnant ! C’était un vrai défi, mais aussi une immense joie.

Depuis cette victoire, qu’est-ce qui a changé dans votre quotidien ?

Tout a changé. Mon emploi du temps est complètement différent. Je suis occupée tous les jours avec des événements, des rencontres avec les Franciliens, des séances de dédicaces. Il y a aussi toute la préparation technique : cours de danse, catwalk (marche sur podium), éloquence, gestion des réseaux sociaux. Mon comité Miss Île-de-France est très présent, je suis très bien entourée. 

À quoi ressemblent vos journées aujourd’hui, avec la préparation pour Miss France ?

C’est intense. En plus de la préparation pour le concours, des événements publics, il y a beaucoup d’engagement sur les réseaux. Il faut construire une communauté, représenter dignement l’Île-de-France. C’est une routine très différente de celle que j’avais avant, mais je m’y consacre pleinement et avec enthousiasme.

Y a-t-il une étape de la compétition Miss France que vous redoutez ou attendez particulièrement ?

Je pense que c’est un tout. Je ne redoute pas particulièrement une étape. C’est beaucoup de travail, mais je suis bien préparée. Et surtout, je garde en tête que tous mes efforts jusque-là ont payé, donc je continue sur cette lancée, sans regrets, quel que soit le résultat.

Quel message ou quelle cause vous souhaitez porter en tant que 
Miss ?

Je suis marraine de l’association Aidons la Recherche, qui soutient la recherche contre le cancer du sein. C’est la cause que je défends à Miss France. Elle me tient particulièrement à cœur. L’association reverse chaque année un chèque important à l’Institut Curie. J’ai d’ailleurs visité leurs laboratoires, vu les avancées rendues possibles grâce aux fonds récoltés. Je suis fière d’y contribuer à mon échelle en sensibilisant et en mobilisant autour de cette cause.

Comment votre famille et vos proches vivent-ils cette aventure ?

Je suis entourée de proches très impliqués : mes parents et ma famille me soutiennent énormément, mes comités Miss Yvelines et Miss Île-de-France sont présents, et mes amis participent activement à cette aventure. Un soutien solide est essentiel pour vivre pleinement cette expérience, qui peut être très intense émotionnellement.

Quel lien gardez-vous avec votre ville et ses habitants dans cette nouvelle aventure ?

Le lien est très fort. Le Chesnay-Rocquencourt m’a beaucoup soutenue dès le début, notamment lors de mes événements en tant que Miss Yvelines. J’ai toujours plaisir à revenir, comme lors du défilé intergénérationnel en juin. C’est important pour moi de garder ce lien, de rester proche de ceux qui m’ont vue commencer.