Une fiscalité locale stable malgré un contexte contraignant
Malgré un contexte économique difficile (inflation toujours présente, hausse mécanique de la masse salariale, pénalité SRU pour le déficit de logements sociaux…), la Ville n’avait pas augmenté pas le taux communal de la taxe foncière.
Une stabilité rendue possible par une gestion rigoureuse des dépenses, la politique tarifaire et des économies ciblées :
- Baisse des consommations d’énergie,
- Outils numériques,
- Mutualisation des achats...
Un emprunt raisonné pour les grands projets
Si les « dépenses courantes » (patrimoine, équipement des services…) sont financées par les ressources réalisées en faisant des économies de fonctionnement ; pour les projets structurants, donc de long terme, l’emprunt est particulièrement adapté. Il permet de répartir les coûts sur 20, 30 ans, voire davantage.
La Commune prévoyait d’emprunter 5 millions d’euros en 2024. L’endettement de la commune reste sous contrôle. Pour rappel, la dette de la commune historique du Chesnay dépassait les 30 millions d’euros, contre 17,6 millions fin 2024.
Les grands projets se poursuivent
Les projets sur le long terme sont par exemple ceux du Plan Pluriannuel d’Investissement (2022-2026) : rénovation de l'école Langevin (à lire ici) et la création d'une bibliothèque de quartier (à lire ici)